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Le site du NPS des Yvelines

Archives
9 février 2006

NPS78


Bienvenue au Nouveau Parti Socialiste des Yvelines

Le Nouveau parti socialiste est une sensibilité interne au Parti socialiste. Il est organisé par départements dans ce que l’on appelle une « fédération ».
Chaque département à donc une fédération qui regroupe les groupes locaux que l’on appelle « sections ».

A ce jour il y a 130 000 adhérents du Parti socialiste sur l’ensemble du territoire français. Il existe même des sections du Parti socialiste regroupant les français qui vivent à l’étranger.

La fédération du Parti socialiste des Yvelines compte 1200 adhérents répartis en plus de 50 « sections ».
Il existe donc nécessairement une section près de chez vous.
Pour avoir les coordonnées de la section la plus proche, contactez-nous par mail en nous indiquant vos coordonnées complètes.

La sensibilité « NPS » dont les responsables sont Vincent Peillon, Henri Emmanuelli et Benoît Hamon, a recueillie, dans les Yvelines, plus de 26% du vote des adhérents lors du dernier congrès du Mans.

Si vous le souhaitez, vous pouvez donc contacter le NPS des Yvelines par Email à : npsyvelines@free.fr

Bien amicalement.

Le NPS des Yvelines

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9 février 2006

Le lancement


Le blog du NPS des Yvelines, c’est parti !!!

Nous en parlions entre nous
depuis des semaines sans jamais le lancer… Maintenant c’est chose faite, Le NPS des Yvelines fait aujourd’hui partie de la blogosphère.

Mais au fait, un blog, c’est quoi ?
Un blog est un site Internet sur lequel une ou plusieurs personnes s’expriment de façon libre…

Les contributions sont classées par ordre chronologique et peuvent être commentées par les lecteurs eux-mêmes.

Un blog est l’équivalent d’un tableau « Veleda » sur lequel chacun pourrait commenter les informations qui y figurent.

Les sites Internet de blog se sont multipliés et sont devenus de plus en plus simples à faire fonctionner. Un blog ne nécessite pas de formation technique. Sa gestion et son enrichissement se font de manière automatisée.

Pour le NPS78, ce principe de blog nous a semblé le plus simple, le plus direct et donc le plus participatif.

Comme toujours, les espoirs de départ sont démesurés. Il s’agit pour nous de faire de ce blog à la fois un moyen d’information (note de synthèse sur des sujets d’actualités, infos diverses..), un moyen d’exprimer les positions du Nouveau Parti socialiste, mais aussi un moyen pour faire participer le maximum de camarades et de citoyens en ouvrant cet espace électronique de discussion.

Nous verrons bien si nous remplissons le contrat. Quoiqu’il en soit, voici le blog.
Vous y êtes chez vous.

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Le blog du NPS est un espace semi-ouvert, les informations sont mises en ligne par les animateurs du site.
Vous pouvez librement réagir aux informations mises en ligne (cliquez sur « commentaires »).
Si vous souhaitez poster un nouvel article, vous pouvez nous le faire parvenir à l’adresse unique : npsyvelines@free.fr (Si vous pouvez envoyer une photo d’illustration, c’est plus agréable).

9 février 2006

Liberté d'expression


"Caricatures" : communiqué du NPS

Il faut s'inquiéter du retour en force de l'obscurantisme contre la rationalité, s'en inquiéter et appeler au combat contre cette régression. Au nom du respect des opinions d'autrui et de la tolérance - dont les fondamentalistes de toutes les religions ne semblent pas faire grand cas - on ne peut accepter un nouveau cantonnement de l'esprit critique aux portes de l'idéologie religieuse.

Le droit de critique ne se mesure pas, sauf à prendre le parti de la censure. Il est indissociable de la rationalité et du progrès.

De même, la liberté d'expression est indissociable de la démocratie.

N'ayant jamais admis l'esprit des lumières, des forces profondément conservatrices, en orient comme en occident, veulent prendre appui sur les excès de l'intégrisme musulman pour prendre l'avantage en même temps que des revanches sur la raison.

Face à ces tentatives de retour en arrière, les partisans de la laïcité doivent rester vigilants, et défendre sans ambiguïté la liberté de conscience, qui inclut le droit de pratiquer une religion, mais aussi le droit à l'humour, fût-il sous forme de caricature.

9 février 2006

Sur le site du Ps


"La bataille contre le CPE est loin d'être terminée"

A l'Assemblée, dans la rue, dans toute la France

Le PS, avec les syndicats et l'ensemble de la gauche, exige le retrait du Contrat première embauche. Les députés socialistes font passer le message très fermement dans l'hémicycle depuis le 31 janvier, relayés dans la rue par les collectifs de jeunes, les syndicalistes, les élus locaux et les fédérations PS. Pour Jean-Marc Ayrault, interrogé ce matin à l'Assemblée nationale, "la bataille est loin d'être terminée, que ce soit au Parlement et dans l'opinion". Les jeunes également sont sur le pont et entament une série d'opérations débrayage dans les lycées et les facultés.

9 février 2006

Le 78 était là !


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Les Yvelines dans la manif'

Une trentaine de militants des Yvelines étaient présents lors de la manifestation mardi 7 février contre le CPE de Bastille à République. Ce sont plus de 300 000 personnes qui ont manifesté dans toute la France (50 000 à Paris).
Merci à toutes et tous.

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3 février 2006

Dossier Emploi : le CPE

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Le Contrat Première Embauche (CPE)

 

Le CPE annoncé lundi 16 janvier par Dominique de Villepin prétend s’attaquer au chômage des jeunes

 

Rappel sur le chômage des jeunes

22,8% des jeunes (18-25 ans) sont actuellement au chômage. Ce taux a grimpé de 3,8 points depuis 2002. Il a récemment légèrement baissé du fait de la baisse générale du nombre de chômeurs mais le motif de sortie de l’ANPE est pour près de 50% l’absence au contrôle ou une radiation administrative selon les chiffres de l’ANPE elle-même. Pour les jeunes sans qualification, le taux de chômage s’élève même à 40%. Au total, ce sont 618.000 jeunes qui sont aujourd’hui sans emploi.
Selon l’OCDE, en France un jeune met de 8 à 11 ans pour entrer durablement sur la marché de l’emploi, c’est-à-dire à décrocher un CDI, contre 3 à 5 ans dans les autres pays de l’OCDE.

Depuis 2002, le gouvernement a aggravé le chômage et la précarité des jeunes. Il a mis fin au dispositif des emplois-jeunes créé par le gouvernement Jospin. Il les a plus ou moins remplacés par le contrat-jeune en entreprise (CJE), un CDI destiné aux jeunes ayant un diplôme inférieur au bac et comprenant des aides financières pour les employeurs (240.000 bénéficiaires depuis 2002).

Le CPE, contrat précaire pour les jeunes

Un contrat première embauche (CPE) est institué pour les jeunes de moins de 26 ans. Il emprunte au contrat nouvelles embauches (CNE), une période d'essai de deux ans dérogatoire du droit commun (un à trois mois dans un CDI). L'employeur pourra, contre les conventions internationales de l'Oit, contre la déclaration européenne des droits de l'homme, contre le Code du travail, licencier tous les jeunes sans motif pendant les deux premières années. Il s’agit donc bien d’une extension du CNE à tous les jeunes de moins de 26 ans, puisque ce contrat ne sera pas limité aux entreprises de moins de 20 salariés, mais pourra être signé par toutes les entreprises. Autant dire que la période d’essai de 2 ans pourra aisément devenir la règle pour les jeunes, y compris dans les grandes entreprises.
Le CPE ouvrira droit à une indemnisation au chômage dès le quatrième mois de contrat (contre six mois au cours des 22 derniers mois dans le droit commun du chômage). L'indemnité sera alors de 460 euros par mois, pendant deux mois. Sous couvert d’une apparente générosité, cette mesure encourage les patrons à licencier rapidement (ils peuvent le faire sans motif) puisque les jeunes toucheront une indemnité pendant 2 mois, juste le temps de retrouver un autre CNE, qui pourra à son tour prendre fin à tout moment et sans raison.

Le Contrat Première Embauche porte bien mal son nom puisqu’il peut être signé après un CDD (comme le CNE). Les entreprises peuvent donc l’imposer à tous les jeunes, même s’il ne s’agit pas de leur premier emploi.

Mesure complémentaire : une exonération totale de charges patronales pendant trois ans est accordée à tous les contrats à durée indéterminée (CDI, CNE, CPE) signés au profit de jeunes de moins de 26 ans au chômage depuis plus de six mois. C’est une mesure inefficace et scandaleuse. Inefficace car toutes les études montrent que les exonérations de cotisations sociales suscitent des effets d’aubaine et ne créent pas d’emplois. Scandaleuse car c’est une nouvelle réduction des ressources de la Sécurité Sociale (on sait que les exonérations sont loin d’être toutes compensées par l’Etat comme c’est pourtant une obligation) et cela constitue un nouveau cadeau sans contrepartie aux entreprises.
Ces dispositifs constituent des mesures d’exception supplémentaires après la décision prise par le gouvernement à la rentrée de ne plus reconnaître les moins de 26 ans dans le calcul des seuils sociaux des entreprises (qui déterminent notamment la création des institutions représentatives du personnel).

Alors que la nature et le niveau du premier emploi conditionnent largement la suite de la carrière professionnelle, les perspectives d’avenir se résumeront donc à une précarisation tout au long de la vie.
Le CPE est par ailleurs une nouvelle illustration de la volonté du gouvernement d'opposer les générations (après la réforme des retraites et celle de l'assurance maladie) : avec ce nouveau CIP, les jeunes vont pouvoir remettre au goût du jour le slogan « Papa j'ai trouvé un travail : le tien ». On sait que la précarité imposée aux jeunes tire vers le bas les conditions de l’ensemble des salariés, les jeunes constituant une nouvelle « armée de réserve ».

La portée du CPE est très grande, car nul doute qu’après avoir imposé une telle précarité aux jeunes, quand ils seront tous domptés et dressés à la précarité, le gouvernement l’étendra à tous les salariés.

 

Des annonces plus larges dangereuses

Dominique de Villepin  a également annoncé la création d’un CDD sénior, qui pourra être conclu à partir de 57 ans, pour une durée de 18 mois renouvelable une fois. On assiste donc à une prise en tenaille du CDI, puisque celui-ci est remis en cause pour les jeunes (CPE), les seniors (CDD senior) et dans les petites entreprises (CNE). Cette généralisation progressive annonce le grand rêve des ultralibéraux et du MEDEF : la mise à mort du CDI.

Dominique de Villepin lui-même a promis de tirer, dans les prochains mois, "les conséquences du lancement réussi du contrat nouvelles embauches pour lancer une réflexion sur l'évolution générale des contrats de travail dans notre pays". Il ne cache pas que le CDI est désormais en ligne de mire : "Certains envisagent un contrat unique, d'autres souhaitent étendre le contrat nouvelles embauches, toutes ces options sont sur la table de la concertation."

Le Premier ministre envisage aussi la définition "d'un nouveau régime juridique des ruptures négociées", autrement dit du droit du licenciement, et des "allégements de charges sur les heures supplémentaires".
Dominique de Villepin ouvre donc la porte à un démantèlement de grande ampleur du droit du travail et plus largement de tout notre droit social.

Rappelons par ailleurs que le gouvernement fait procéder actuellement à une réécriture du droit du travail, théoriquement à droit constant et en vue d’une simplification, en réalité à droits dégradés et par ordonnances, en dehors de tout débat démocratique large.

3 février 2006

Dossier emploi : Le CNE

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Le Contrat Nouvelle Embauche (CNE)

Le Contrat Nouvelle Embauche a été créé par les ordonnances Villepin du 2 août 2005.

Une précarité généralisée

Il s’agit d’un contrat à durée indéterminée réservé aux entreprises de moins de 20 salariés (cela représente tout de même 4,5 millions de salariés concernés) qui comporte une période d’essai de 2 ans pendant laquelle l’employeur peut licencier à tout moment le salarié, sans préavis, justification ni indemnité de licenciement (l’indemnité de précarité versée à l’issue d’un CDD n’est pas non plus versée). Contrairement à ce que semble indiquer son nom, il n’est pas réservé aux premières embauches. Il donc possible d’embaucher un salarié en CNE à l’issue d’un CDD. La précarité extrême de l’emploi (le salarié étant placé sur un siège éjectable) a des effets induits importants. On peut ainsi s’interroger sur l’accueil réservé à un salarié en CNE, susceptible d'être licencié durant une période de deux ans, par une banque s’il demande un crédit, ou par un propriétaire s’il recherche un logement. Cette possibilité de licencier sans aucun motif ne peut qu’entraver la capacité des salariés à se syndiquer et plus largement à défendre leurs droits. De même, les femmes n’ont pas intérêt à tomber enceintes si elles sont en CNE… Toutes les protections contre les licenciements abusifs cessent d’exister avec le CNE.

Une période d’essai de 2 ans totalement injustifiée

Cette période d’essai de 2 ans est totalement injustifiée : chacun sait que l’employeur n’a pas besoin de 2 ans pour savoir si le salarié est compétent pour son poste de travail. La notion même de période d’essai perd tout son sens avec une telle durée. La vraie justification pour la droite est traditionnelle : faciliter le licenciement pour faciliter l’embauche (les employeurs n’hésiteraient plus à embaucher si elles savent qu’elles peuvent licencier facilement).

Le CNE ne crée pas d’emplois

En réalité, même s’il est encore un peu tôt pour tirer un bilan, on peut d’ores et déjà affirmer que le CNE, comme beaucoup d’autres contrats précaires, n’a créé que très peu d’emplois du fait du nombre relativement faible de contrats signés et surtout des effets d’aubaine. Un résultat très faible au prix très élevé : celui d’une précarité qui risque de se généraliser. Aucun obstacle n’existe pour le CNE devienne le contrat « normal » dans les entreprises de moins de 20 salariés.

Polémique sur le nombre de CNE signés

Une polémique existe sur le nombre de CNE signés et le nombre d’emplois créés. En réalité, aucune une statistique précise n’existe, puisque les chiffres disponibles n’enregistrent que des intentions d’embauche et comportent de nombreux biais méthodologiques. Explication :
Le CNE n'est pas un contrat aidé et n'apparaît pas, en tant que tel, dans les statistiques du ministère de l'emploi. C'est donc via les formulaires de déclaration unique d'embauche (DUE) - que les employeurs adressent aux Urssaf, organismes collecteurs de cotisations sociales - que l'on recense les CNE, aux côtés des CDI ou CDD. Or, la DUE n'indique qu'une « intention d'embauche », précise l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) dont les chiffres ne sont que des « estimations provisoires ». L'organisme a modifié son site Internet et ses formulaires papier pour permettre la saisie du CNE mais les anciens formulaires, sans case « CNE », ont continué à être utilisés. Aussi, l'Acoss a-t-elle décidé que ses estimations sur les différents types de contrats « seront provisoirement fondées uniquement sur les déclarations Internet », un mode habituellement utilisé pour 45 % des DUE. Même le chiffre des DUE faites par internet et indiquant CNE comporte deux biais. En août, des Urssaf s'aperçoivent que des entreprises ont coché à tort la case CNE : certaines comptent plus de 20 salariés, tandis que d'autres ont cru que le CNE désignait simplement un « nouveau » recrutement ! Une autre péripétie aurait brouillé un peu plus les pistes. Traditionnellement, nombre d'employeurs n'indiquent pas la nature du contrat dans la DUE. L'Acoss a donc demandé à son service informatique d'invalider systématiquement les DUE dans lesquelles aucune des trois cases - CDD, CDI ou CNE - n'était cochée. Message mal compris : les informaticiens ont, au contraire, coché CNE par défaut, validant la DUE.

Selon un sondage présenté, mardi 10 janvier, par le cabinet Fiducial, et réalisé du 23 au 29 décembre 2005 par l'IFOP auprès de 300 dirigeants de petites entreprises ayant eu recours au CNE, seuls 29 % des entrepreneurs interrogés déclarent qu'ils n'auraient pas embauché sans l'existence du CNE, alors que 71 % auraient de toutes les façons recruté, dont 40 % en contrat à durée indéterminée (CDI) et 28 % en contrat à durée déterminée (CDD). On voit bien que selon les déclarations des chefs d’entreprise eux-memes (dont on peut penser qu’ils surévaluent le nombre d’emplois réellement créés), les entreprises ayant signé des CNE auraient majoritairement procédé à des embauches même sans le lancement de contrat. Le directeur de Fiducial estime « exagéré » le chiffre de plus de 220.000 CNE signés depuis août, annoncé par le gouvernement.
Les secteurs des services et du BTP sont ceux qui ont le plus eu recours au CNE, suivis du commerce. Le sondage montre que les personnes embauchées en CNE sont âgées de 28 ans en moyenne et qu'elles sont à 59 % des hommes. Plus des trois quarts ont un niveau « en deçà du bac » (29 % sans diplôme ou avec un BEPC, 39 % avec un CAP ou un BEP). Par ailleurs, 56 % des personnes embauchées se trouvaient préalablement au chômage ou au RMI, 23 % en CDD dans une autre entreprise et 17 % en stage.

1 février 2006

CN du 28 janvier


cn28janv
Le NPS : choisir "le camp de la confrontation" avec la droite.

Le courant Nouveau parti socialiste du PS a appelé samedi, à l'occasion de la réunion de son conseil national à Paris, à "choisir le camp de la confrontation" avec la droite pour "rendre possible la victoire de la gauche en 2007". Dans un texte d'orientation, le NPS affirme sa détermination à "utiliser l'année qui vient pour rendre cette victoire possible et la construire sur une véritable dynamique et autour d'un véritable projet". Selon le courant dirigé notamment par Vincent Peillon et Henri Emmanuelli, la bataille contre la droite, qu'il accuse de partager avec l'extrême droite "la même idéologie ultralibérale, sécuritaire et pour partie raciste", ne se fera pas "dans la complaisance à l'ordre établi, la demi-teinte ou le mi-chèvre mi-chou".

 

"La droite a choisi son camp. Il nous faut choisir le nôtre. Et d'abord le camp de la confrontation", affirme le texte du NPS.
Il préconise notamment une "riposte sans concession" au "modèle Villepin-Sarkozy" qui fait "de la violence sociale et sécuritaire un mode de régulation de la société".

 

Le courant estime que "le combat des socialistes doit être celui du droit à l'avenir pour tous", en dénonçant notamment l'offensive "d'explosion de l'ordre salarial" symbolisée par le Contrat première embauche (CPE) et la politique visant à "faire baisser la tête et courber l'échine à la jeunesse".

 

Concernant la présidentielle de 2007, le NPS appelle à "des états-généraux qui permettent de préparer la dynamique unitaire et populaire nécessaire à la victoire". "Sonnons la fin de la récréation au PS, arrêtons de jouer avec l'avenir des Français à coup d'égo et de petites phrases, jouons la logique collective dans le parti et dans la gauche", affirme son texte d'orientation.

 

Il se prononce notamment pour l'organisation de primaires élargies "au delà des militants socialistes" pour "éviter la dispersion des candidatures" et "forger la dynamique populaire pour gagner".

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